Communiqué par C Guigon (Equipe Physiologie de l’Axe Gonadotrope) :
L’équipe a montré, par immunohistochimie sur des lames de tissue-micro-arrays, que les tumeurs de la granulosa de l’ovaire humain expriment différents récepteurs de l’œstradiol (E2) : le G protein-coupled estrogen receptor (GPER) et les récepteurs nucléaires α (ERα) et β (ERβ). Ces récepteurs joueraient des rôles distincts dans cette pathogenèse 1. En effet, le GPER réprimerait la migration des cellules métastatiques, tandis qu’ERα et ERβ favoriseraient leur prolifération et leur survie.
1: François et al. Carcinogenesis. 2015. doi: 10.1093/carcin/bgv041.