Le neuropeptide GnRH stimule la production des hormones gonadotropes hypophysaires qui régulent le fonctionnement des ovaires et testicules. Cependant, une exposition prolongée à la GnRH conduit rapidement à un arrêt de la production de ces hormones, un phénomène utilisé pour réduire momentanément la production de stéroïdes sexuels dans certaines situations pathologiques.
Une étude dirigée par Bruno Quérat au sein de l’équipe Physiologie de l’Axe Gonadotrope (Resp Joëlle Cohen-Tannoudji) a mis évidence le rôle essentiel joué par une boucle de régulation entre deux microARN dans cette désensibilisation.
Cette étude a été publiée dans la revue Scientific Reports.
Les communiqués de presse sont consultables sur les sites :
- de l’université Paris Diderot :
http://www.univ-paris-diderot.fr/sc/site.php?bc=recherche&np=pageActu&ref=8806